La fille du Seigneur de l'Hiver

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Séraphine
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Re: La fille du Seigneur de l'Hiver

Message#61 » jeu. 19 mai 2016 10:50

Mouais ... Séraphine n'était pas convaincue, mais il était vrai que cela ne servait à rien de se geler les pieds ici. Faudrait pas que ces trucs choses qui ont attaqué les gobelins ne viennent s'en prendre aux humains, c'est à dire à l'auberge ou pire aux villages et villes voisines. Ils étaient quand même nombreux les gobelins.

La jeune femme regardait autour d'elle et ramena sa cape autour de ses épaules. Peut-être qu'en ville il y aurait plus d'informations. Il est vrai qu'ici on ne ramassera pas plus d'indices.

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Alcibiade
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Re: La fille du Seigneur de l'Hiver

Message#62 » dim. 22 mai 2016 19:01

Malgré tout, le jeune novice de Dénora restait triste pour la communauté gobeline. Même s'ils étaient des monstres horribles et leurs ennemis, ils étaient comme tous : ils avaient besoin d'un foyer et de quoi survivre. Et quelque chose avait tout détruit sans faire de différence pour en chasser les mâles mais aussi les femelles et les petits. Une volonté d'exterminer ces créatures ne pouvait avoir qu'une seule origine : le mal. Alors naturellement, les gobelins avaient réagi et s'étaient rué vers le foyer le plus proche et ainsi avaient attaqué l'auberge. C'était une question de vie ou de mort. Où étaient-ils maintenant qu'ils n'avaient plus de refuge ? Est-ce que ces êtres maléfiques qui avaient laissé ces empruntes les pourchassaient dans la forêt ? Des questions pour l'instant sans réponse et i fallait en trouver. Quelque peu fatigué par cette courte nuit et cette escapade dans ce froid hivernal anormal en cette saison, Alcibiade ressentait l'engourdissement et la lassitude le gagner. Il avait besoin de repos, d'une vraie nuit avant de partir au combat contre le mal.

Alcibiade avait fait son possible pour recopier l'emprunte puis s'était relevé, regardant le chevalier et l'halfeline. Son sourire éclaira son visage - Vous avez raison, rentrons à l'auberge et rapportons ce que nous avons trouvé et vu au capitaine des gardes. S'il faut poursuivre notre chemin vers la ville pour y rechercher des informations, voire prévenir le seigneur locale, alors allons-y ensuite. Je crois que c'est sur ce chemin qu'il y a cette chapelle avec cette étrange statue dont on nous a parlé hier soir à l'auberge. Je serai curieux de la voir. Qu'en pensez-vous ?

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Aude
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Message#63 » dim. 22 mai 2016 19:16

Alciabiade avait trouvé dans une tente qui fut plutôt piétinée qu'autre chose, un petit sac, qui devait appartenir à une dame, plutôt qu'à un gobelin. Dans ce sac outre deux pièces de cuivre, un parchemin hâtivement enroulé. Lisant rapidement, le prêtre compris qu'il s'agissait là d'une lettre d'amour. Un jeune homme y demandait avec mille et une cajoleries de venir le rejoindre. Il avait réussit à décrocher une ferme dans les environs de Vereglisse et proposait une vie emplie de rire et d'enfants. Il y avait aussi du bois noirci par le feu qui pourrait faire office de craie de fortune pour le dessin qu'il s'apprêtait à faire.

Tollance et Séraphine n'avaient rien trouvé de bien sérieux, si ce n'est pareillement quelques pièces de cuivre, une paire de gants qui devaient tenir chaud et un manteau d'hiver qui était un peu tâché ce qui n'aurait pas été très grave, mais qui malheureusement ne sentait vraiment pas la fleur.

Après qu'Alcibiade mit son plan en oeuvre, un dessin ma foi assez bien réussit malgré les rigueurs de l'hiver, les aventuriers s'en retournèrent à l'auberge. Il était certain que si réponse il y avait à trouver, ce serait peut-être du côté de la petite ville de Verreglisse. Une auberge comme l'Ours Noir n'était qu'un lieu de passage où les plus folles rumeurs pouvaient circuler à une vitesse inimaginable. Aussitôt dit, aussitôt fait, le retour se passa comme à l'aller, sans grande histoires arrivant vers la fin de l'après-midi, non sans s'être assuré qu'il n'y avait pas plus de traces, ou autre petites choses bizarres.

Sauterelle fut ravie de revoir Séraphine. Elle lui raconta que son père était maintenant pressé de repartir, et qu'ils allait faire route vers Verreglsse le matin aux aurores. L'aubergiste avait déclaré logement et diner gratuits à tout ceux qui avaient aidé à la défense de la muraille. Seul bière et vins seraient payant. Une jolie nouvelle pour un joli crépuscule qui teinta de violet et de rouge les dernière lueurs d'un ciel qui céda sa place aux froides étoiles sur un fond nuit.

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Tollance
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Message#64 » mar. 31 mai 2016 23:08

Le chevalier suivit son immuable rituel quand il arriva à l'auberge. S'occuper de son cheval ainsi que de sa nourriture. Il aimait cela mais dans un coin de sa tête une idée trottait de prendre un écuyer. Après tout il était chevalier et c'était son plus strict droit. Cependant, c'était une lourde responsabilité et le temps n'était pas encore venu. Il informa les principaux responsables de l'auberge et de sa sécurité de ce qu'ils avaient pu découvrir au campement. À dire vrai ce n'était pas grand chose mis à part le fait que les gobelins ne leurs poseraient plus de soucis. Il s'installa ensuite pour profiter d'un bon repas chaud et d'une boisson qui devrait convenablement étancher sa soif à savoir une bière. Il se posa près d'Alcibiade afin d'avoir un semblant de conversation avec quelqu'un capable d'être posé et réfléchi.

Vous m'aviez posé une question plus tôt dans la journée. À savoir si la mystérieuse statue m'intriguait. La réponse est bien entendu oui. Mais, dans l'immédiat ce qui m'intrigue c'est ce qui a pu mettre en fuite toute une colonie de gobelins. Certes, ils ne sont pas connus pour leur bravoure mais ils ont tout de même foncé directement sur l'auberge. En plus j'ai vu quelque chose dans l'ombre que je n'ai pu identifié car il est parti quand nous avons pris le dessus définitivement sur les gobelins. Je ne sais pas ce qui se trame ici mais j'ai bien peur que nous ne soyons pas au bout de nos peines. Qu'en pensez-vous ?

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Message#65 » mer. 1 juin 2016 18:20

Lasse mais fort contente de rentrer dans ses pénates, Séraphine profita de la discussion en bas pour se prendre un bon bain chaud. Ses pieds étaient gelés, les joues mordues par le froid et le nez menaçait une rébellion difficilement comprimable. Elle était contente d'apprendre qu'ils allaient bientôt déménager et quitter ce lieu pour la ville de Verreglisse.

Dès qu'elle fut prête, se sentant bien mieux, elle rejoignit la tablée attendant presque avec impatience le repas.

Il fait un taquet de froid dehors dit-elle J'ai l'impression que le printemps n'arrivera jamais ! [i]Elle ne savait pas trop pourquoi elle disait ça, à vrai dire les autres le savaient bien qu'il faisait froid dehors, mais quelque part elle se demandait si tout ces récents malheurs n'avaient pas un lien avec le froid ...

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Alcibiade
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Message#66 » mer. 1 juin 2016 19:34

Calé sur une chaise près de la cheminée, Alcibiade tentait de retrouver des sensations au bout de ses doigts et de ses orteils. Remarque, son nez n'était guère plus appointé. Sans doute rouge écarlate, il avait l'impression qu'il pouvait casser d'une simple pichenette. Il partagea ensuite la table du chevalier, écoutant celui-ci tandis que les bras autour du corps il tentait encore de retrouver plus rapidement de la chaleur. Il hocha du chef vers la fin.

Oui j'ai pu constater lorsque j'ai tenté de convaincre le chef Gobelin que son combat était inutile et qu'il valait mieux se rendre ou cesser toute velléité, qu'il avait failli céder, mais que quelque chose... Ou quelqu'un, ne lui laissait pas d'autre choix que de de ruer sur nos murs dans une tentative désespérée de percer et de s'y réfugier. C'était l'attaque du dernier espoir, ils n'avaient pas le choix. Par contre je ne sais pas qui ne le leur laissait pas. Étaient-ce ces créatures qui ont dévasté leur campement et dont nous avons relevé les traces ? C'est ce que je pense et il nous faut trouver des réponses.

Le jeune novice de Dénora se leva enfin, maintenant qu'il sentait pratiquement toutes les parties de son corps désengourdi. IL demanda à l'aubergiste, au marchand et au capitaine de la garde s'ils avaient entendu parler de créatures monstrueuses dans les parages, si cela était déjà arrivé et il leur montra son croquis pour voir si quelqu'un reconnaissait ces traces ou s'ils pouvaient lui indiquer à quelle personne s'adresser.

Il est probable que nous devions nous rendre à Verreglisse. Il y a là-bas sans doute des érudits, des chasseurs ou des personnes qui pourront peut-être nous aider. Et je crois que c'est sur cette route que se trouve la petite église et sa statuette merveilleuse. Vous avez raison demoiselle Séraphine. Il fait beaucoup trop froid pour une période où les arbres bourgeonnent, ou es fleurs s'étiolent et où la chaleur réchauffe les cœurs. La saison des labours et des semences est déjà en retard et il me semble par ailleurs que ce froid reste localisé dans cette région. Je crois que nous avons beaucoup de questions et pas de réponses. Partons demain dès 'aube et allons chercher ces réponses à Verreglisse ou plus loin encore s'il le faut !

Il s'approcha du chevalier et de la halfeline, posant sur chacun une main amicale sur l'épaule et leur adressant son large sourire franc - Et si nous profitions de cette soirée pour nous profiter de l'excellente cuisine de l'auberge et descendre quelques godets de bonne bière ou de vin ? Je crois que nous en avons besoin pour le corps physique et pour le moral. Demain nous partons à l'aventure les amis !

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Aude
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Message#67 » ven. 10 juin 2016 10:55

Le Mage peinait dans tout ce froid. Les pieds commençaient à geler, le nez refroidit par la température menaçait d'inondation de morve, les lèvres serrées appuyé sur son bâton, il avançait tel un vieillard à l'aube de son dernier jour. Pourtant il se devait être à Verreglisse au plus tôt. Dans sa poche le message d'un ami l'enjoignant de manière fébrile à venir examiner la statue qu'il supposait être magique. Son ami, Maître Ferass Bourdel était un petit notable de la ville, du moins il aimait le faire croire. Son métier était écrivain public, prenant à coeur à aider ces personnes qui se devaient entreprendre des démarches écrites dans toutes sortes de domaine. Il est vrai, il écrivait bien et ses missives ne laissaient jamais de marbre. Sancemus l'avait rencontré lors d'une vente exceptionnelle de grimoires et de livres d'un érudit à Valastir, vente qui avait drainé beaucoup de monde. L'enchère sur le Précis de l'Armure Magique les avaient mis en opposition féroce, pour se voir tout deux supplantés par quelque gros et gras marchand. Ils en avaient pris le parti d'en rire et d'aller boire un verre ensemble pour s'en consoler. C'était l'une de ces amitiés fugaces mais tenaces, et Sancémus était heureux d'avoir l'occasion de revor le visage jovial de Ferass.

Dans les ombres de la nuit tombante, il aperçut enfin de la lumière brillant doucement dans les arbres, comme la promesse d'un havre de paix. Il était temps. Il se sentait mal à l'aise sur cette route, comme si il était sans cesse épié par les ombres, peut-être la fabrique de son imagination, mais quand même, les frissons qui couraient sur son échine n'étaient pas seulement du au froid. Froid étrange d'ailleurs, comme si le printemps avait oublié une région entière...

Pressant le pas, il arriva à l'auberge. Des gardes un peu nerveux sur un mur d'enceinte hésitaient à le laisser passer et il dut même se laisser aller à une fouille en règle pour avoir le droit de se reposer à l'auberge... Malgré ses questions, les gardes ne lui répondirent pas, lui enjoignant de rejoindre rapidement le grand bâtiment illuminé.

Dans la pièce chauffée par l'âtre d'une grande cheminée qui ronflait avec entrain, pas mal de monde : soldat, homme de temple, halfeline, ce qui ressemblait à des marchands ambulants, un joyeux brouhaha qui ne put que subitement réchauffer le coeur du mage. Un capitaine entouré de ce qui semblait être des chasseur était penché sur un dessin, discutant de traces étranges, la mine concentrée et les yeux perdus dans une concentration fiévreuse.



Personnellement je n'ai jamais vu de telle traces dans ces bois. T'en dis quoi Janus ? Déjà à la base, d'après ce que vous décrivez Alciabiade, cela doit être une créature assez imposante. Quand à cette longueur, entourée d'une multitude de sillons où l'on devine au moins trois griffes imposantes, ma foi ça me fait penser à un aigle... Un aigle géant ?


Le Janus en question resta tout aussi perplexe mais osa une réponse ...
Tu va me prendre pour un dingo Mortefin, mais moi ça me fait penser à un insecte plutôt, une sorte de sauterelle ou ... non une mante religieuse géante ? Le chasseur se tut levant les yeux sur l'homme qui venait de rentrer. Il portait une cape colorée serrée autour de lui par un sac en bandoulière. D'ailleurs la plupart remarquèrent son entrée tardive à l'auberge, le considérant peut-être comme un rescapé inconscient des ombres de la nuit. Quelques conversations s'estompèrent ou s'arrêtèrent et la plupart des regards étaient tourné vers lui

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Sancemus
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Message#68 » ven. 10 juin 2016 14:05

Toute la population de l'auberge avait maintenant le regard fixé sur Sancemus. Point de surprise, il était coutumier du fait. Cependant ce n'était pas réciproque car la différence de température phénoménale entre l'extérieur et cette salle accueillante avait recouvert ses petites binocles d'une épaisse couche de buée.

Ai-je bien entendu ces gens parler de traces dans les bois ? La pensée suffit à le faire frissonner de nouveau. Après tout il avait marché seul sur cette route forestière. On n'apprend pas facilement la prudence. A faire attention à sa personne quand on a la tête ailleurs. Il était temps d'y remédier un peu.

Il pris la parole à l'aveuglette.
Hum... son visage s'orienta instinctivement vers l’âtre flamboyante. Bonsoir messieurs, Il y aurait-il une place libre au coin du feu pour un voyageur transi ? Son ventre grondant répondit le premier - Hum... et un bon bol de soupe chaude ? Ajouta Sancemus.

Il fit semblant de n'avoir rien entendu de la conversation sur les traces forestières à son arrivée. Cependant il était déjà en train de se triturer la mémoire pour trouver la réponse à cette irrésistible énigme zoologique.

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Tollance
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Message#69 » ven. 10 juin 2016 23:22

Tollance observa le nouvel entrant et ne put s'empêcher de penser que ce dernier devait être quelque peu dérangé pour oser braver le froid mordant de la soirée.
C'est soit un fou soit un...nous verrons bien en attendant.

Et pourquoi pas un dragon cela aurait plus de prestige non ? Imaginez un peu la scène. Un majestueux dragon, un combat épique et une gloire éternelle. Encore faudrait-il que le dit dragon soit un ennemi. C'est un détail qu'il nous faudra éclairer.

Tollance était en plein rêve. Il avait enfin un occasion de prouver sa valeur. Cependant, il se demandait s'il avait la carrure pour affronter un tel adversaire si cela était nécessaire.

En attendant de savoir de quoi il s'agit exactement, nous ne pouvons qu'attendre. Cela nous laissera le temps d'aller voir le village où se trouve cette mystérieuse statue. Cette histoire m'intrigue et m'intéresse. Dites-moi vous connaissez cette homme qui vient d'arriver ?

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Alcibiade
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Re: La fille du Seigneur de l'Hiver

Message#70 » sam. 11 juin 2016 20:13

Concentré sur les explications des uns et des autres, le jeune novice était plutôt enthousiaste. Il tenta de donner le plus de détails possibles comme par exemple l'irrégularité des pas et leur espacement - Un dragon vous croyez ? Mais c'est énorme un dragon ça ne peut pas se cacher facilement !

Bien-sûr qu'il était impressionné, surtout par le chevalier Tollence qui se voyait déjà montant sur son fier destrier lance en main entrain de charger ce qui était sans aucun doute un monstre de légende. Il doutait cependant qu'une telle créature fantastique ait jamais existé autre part que dans les histoires et les chansons des bardes. De sa courte vie, il n'en avait jamais vu ni entendu quelqu'un en avoir vu un. Son regard erra dans la salle de l'auberge et se posa sur le nouveau venu. Il avait créé un petit émoi en entrant. Les derniers évènements rendaient sans doute les locaux tendus et méfiants et tout comme l'assemblée il avait regardé l'homme de haut en bas tandis qu'il cherchait un endroit pour se poser afin de se restaurer et sans doute se réchauffer.

II parcourut de nouveau la salle du regard pour voir s'il restait effectivement de la place pour ce voyageur transi par le froid extérieur. Le jeune homme se leva et s'approcha de celui qui en paraissait le double. De toutes façons c'était quelqu'un de plus âgé et son éducation voulait qu'il lui laissa sa place s'il n'y en avait pas d'autre de disponible - Bonjour monsieur. Je m'appelle Alcibiade, novice de Dénora. Venez par ici. II y a du monde ce soir. Tenez prenez ma chaise, je peux rester debout et nous nous sommes déjà réchauffés. Il fait vraiment froid dehors et nous avons pris les meilleures places près de l'âtre de cheminée. A votre tour maintenant.

Puis il revint vers Tollence et Séraphine - Oui je crois que demain nous devrions aller voir cette statue magique étrange et poursuivre jusqu'à Verreglisse chercher des réponses. I y a là-bas sans doute quelques érudits qui sauront éclairer nos lanternes.

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